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Pigeons : prévention des maladies

Dernière mise à jour : 9 avr. 2019

Les oiseaux peuvent transmettre des maladies à l’Homme. Le pigeons des villes et l'homme se disputent les espaces depuis de nombreuses années et cela peut devenir problématique. Sans entrer dans la psychose, les pigeons bisets se nourrissent de graines mais aussi de déchets alimentaires. On les qualifie d' «éboueurs urbains» ou encore «rats des airs». Alors que faire quand ils sont en nombre ?


Il représente un véritable sujet de préoccupation pour les propriétaire et les bailleurs. Lorsque le pigeon est seul, on y prête peu attention. Mais lorsqu’il y a regroupement, cela génère amas de déjections et nuisances olfactives et sonores. A Paris, il y a 1 pigeon pour 25 habitants selon le journal Le Figaro. Contrairement aux autres espèces d’oiseaux, ces volatiles sont habitués à l’habitat humain. On les retrouve sur les balcons, le mobilier de jardin, les corniches, les toitures et les proéminences de toutes sortes. Il arrive même qu’ils entrent dans les logements, les commerces et dans les transports en commun !


A la différence des petits oiseaux, leur audace rend parfois la cohabitation difficile avec l'homme.

Otes de choix des tiques, puces et acariens, il est craint pour sa capacité à transmette des maladies. Dans ces conditions, il est important d’intervenir afin d’éviter la propagation des maladies telles que la Salmonella présente dans les déjections ou encore la psittacose présente dans les plumes.


Le meilleur moyen d’éviter toute contagion est de réaliser des installations anti pigeons par des professionnels. Forte de ses expériences en traitement des nuisibles et désinsectisation, l'entreprise de cordistes MH Alticorde met en place des solutions sanitaires efficaces. Il est parfois arrivé que les équipes de l'entreprise aient eu à nettoyer des fientes fortement incrustées dans les revêtements fragiles de monuments et bâtiments classés. A chaque fois, la conclusion a été la même : le laissé allé à coûté plus cher que l'installation de solutions préventives. En mars 2019, la mairie de Guéret à dû débourser 130 000 euros pour nettoyer et traiter les toitures des clochers et toitures. Evidemment les dépôts de fientes ont amplement contribué à dégrader l'édifice. Alors comme le dit le proverbe, il vaut mieux prévenir que guérir.


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